la subversion est instructive

lundi, décembre 11, 2006

désolée


J'ai dit que je finissais l'article, et, évidemment, je ne l'ai pas fait.
Déjà, je souhaiterais préciser que je parlais de "pulsion de mort" dans un sens psychanalytique, et non dans celui qui voudrait y voir un goût post-adolescent pour le suicide. La pulsion de mort est plus une pulsion de destruction, un goût de l'anéantissement, qu'un rejet de la vie. Ou, plus exactement, il faudrait ne pas oublier que la pulsion de mort, comme les autres, est dominée par l'idée de plaisir, et puis, de toutes façons je n'ai pas dit que je souhaitais être chercheuse donc zut à la fin. Enfin, merci quand même de vous inquiéter de mes états d'âme, mais tout va très bien, je ne vais pas me jeter du haut de mon lit superposé, je vous rassure tout de suite.
Sinon on s'est fait un fight club improvisé avec des potes l'autre jour, c'était vachement chouette, ça fait un bien fou. Bon, je ne dis pas que ça ne fasse pas aussi des bleus. Mais au moins, les bleus de la "boxe" ne font pas mal, eux, alors que ceux de la danse....
On pourrait m'objecter qu'on s'en fait moins en dansant. Erreur. Grave erreur. Cela dépend de variables très variables, telles que les aptitudes naturelles à de tels divertissements (à peu près égales à zéro tant de mon côté que de celui de mes cavaliers émérites), mais également de critères assez déterminants comme le degré d'imbibation au rhum-ananas, et le port de talons ou non (je ne peux vraiment pas danser sans).
Donc j'avais bien raison, la danse c'est tellement plus dangereux que la boxe...

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