vendredi, octobre 06, 2006

mais si j'aime la vie

même si je suis pas obligée quand même, hein, on est bien d'accord.
j'ai juste un problème avec l'idée qu'il faut fuir à tout prix le malheur, parce que vivre sans prendre de risque c'est le meilleur moyen de rater le coche pour l'absolu. je préfère infiniment me savoir vivante, quitte à ce que ça fasse très mal, à l'idée d'une somnolence paisible, sans douleurs ni plaisirs démesurés. les deux étant d'ailleurs liés, non?
à lire et relire à ce sujet: Le meilleur des mondes, de Aldous Huxley. pour les parisiens et assimilés (je sens que je vais me faire frapper, là.. mais il faut prendre des risques ;-p), je peux même vous le prêter.
et parce que je ne suis pas maso du tout, demain soir on va au pub, thématique (mais il n'y a que nous qui sommes au courant..) "go for scottland".

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

J'adore ton commentaire sur cette oeuvre et l'amour en général. Je citerai juste Khalil Gibran:
"Il [L'amour]vous enlace et vous fauche comme des gerbes de blé.
Il vous bat au fléau pour vous mettre à nu.
Il vous passe au tamis pour vous libérer de votre enveeloppe.
Il vous broie jusqu'à la blancheur.
il vou pétrit jusqu'à ce que vous soyez souple et malléable.
Puis il vous livre à son feu sacré, afin que vous deveniez pain sacré pour le saint festin de Dieu"

11 octobre, 2006 01:44  

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